À la Berlinische galerie
January 12, 2019 7:04 pmLa salle dont vous êtes l’œuvre, avec Dalia et les enfants | Site de la Berlinische Galerie
La salle dont vous êtes l’œuvre, avec Dalia et les enfants | Site de la Berlinische Galerie
Fountain, Rathaus Neukölln, Studio Walter 2018
Marcus et Danielle par Walter, mai 2018, Berlin
“Parfois la répétition est l’indice d’une insistance significative sur l’idée obscure qui vous taraude. Et si elle vous taraude, c’est qu’une abréaction finale, une conclusion qu’on voudrait lumineuse, n’est pas encore apparue, mais ne demande qu’à surgir, – ou bien que le problème, d’autant plus cuisant qu’il n’a pas de solution, reste en vous comme une blessure. Et ce vide de la conclusion, dont on désespère, est justement ce qu’il faut savoir supporter comme un honneur de l’esprit ouvert. Ainsi, la répétition, ouverte sur son infini, devient le signe d’une vie éveillée et plus intense de l’esprit. Il faut donc repenser sans cesse les mêmes choses, et si l’abréaction finale doit avoir lieu, dans le cas même où l’on a désespéré d’elle, c’est à cette condition.” – René Passeron, “La Naissance d’Icare – Éléments de poïétique générale”, ae2cg Éditions, 1996, p. 72
De retour à la lecture de livres d’esthétique, de poïétique et d’essais sur l’art, également à l’œuvre et en découverte de l’art avec Walter. Joie !
Également : “L’écriture, le dispositif et le franchissement“ (note, Studio Walter, 2014)
Walter – Soleil d’hiver, 2017 (Berlin, Neukölln)
Faire-parts postés, saison bouclée (ou presque), je pars dans quelques jours en vacances, heureuse, enfin, d’avoir du temps pour Marcus et Walter, mes fabuleux enfants, qui me rendent la vie si belle. Le voyage commencera par le vernissage de “Mécanologie” au Festival de la Cité à Lausanne où nous irons voir Pierre, pour ensuite aller dans le Sud. et aussi retrouver Séverine à Paris pour une échappée. Hâte de nos aventures dans cette période très spéciale de maternité, l’amour au plus fort. Suisse et France, nous arrivons ! | Photo : WM, machine musicale de Pierre Bastien pour Marcus et Walter, 2017, photo Studio Walter | Bande-son : The Dead Mauriacs “Un rêve pour Jacques Monory”, inédit pour Collection Morel, Extraits de bleu, 2017.
Le Monstre de l’air | Quatre monstres pour quatre éléments, dessins de Walter pour Anne / Extrafabula, mai 2017, Berlin Südstern.
Au travail, toujours, sur les musiques imaginaires, une photo de Walter et Paul Paulun hier à Berlin, et une découverte (“L’homme dans l’oreille”) de Jean Pommies à Bordeaux. En commande : “Musicophilia : La musique, le cerveau et nous” d’Oliver Sacks (2009) sur la recommandation de Julien Gaillard | “Musicophilia” dans Le Monde
Studio Walter – Bamberg, 2016. Voir également : An artist residency in Motherhood (Lenka Clayton), extrêmement inspirant.
Départ demain pour une semaine de voyage. L’aventure !
Archives : “Walter Comète“, Studio Walter 2012, dessin original, Glen Baxter.