Françoise Proust, “L’histoire à contretemps” via Wilfried Paris.
Également : Roland Barthes sur le désordre du langage du sujet amoureux (Le Masque et la plume, 1977), via France Culture (Roland Barthes, du coeur à l’ouvrage) / Séverine ; le fantasme comme montage grammatical (Lacan). On continue les recherches sur l’ineffable !
Jour de réveillon, on écoute et réécoute tous “Pierre et le loup” sur trois générations, les yeux écarquillés, grands ouverts sur un bois imaginaire. Magique. Bonnes fêtes !
GonzaÏ XVIII c’est le vendredi 18 octobre à La Maroquinerie (Paris), avec Acid Mothers Temple et The Oscillation. On produit et on y sera ! D’ici là écouter “Milky way star” d’Acid Mothers Temple à fond en lisant les très impressionnantes recherches de Raphaëlle Cazal, doctorante à Paris I, sur l’Einfühlung, la spatialisation de la subjectivité et la subjectivation de la spatialité ; comment la profondeur, dans les lieux et les architectures, permet une expérience sensible d’un ordre différent de la contemplation, en se basant sur les travaux des théoriciens allemands de la seconde moitié du XIXème siècle sur l’empathie, l’approche physiologique qui les porte et comment ils la dépassent. C’est riche, dense et vraiment éclairant. Go girl go !
Raphaëlle Cazal, Le statut affectif et moteur de l’émotion chez les théoriciens de l’Einfühlung en architecture : physiologie ou pré-phénoménologie ?, article à paraître sur la revue en ligne “Implications philosophiques” (via Catherine Guesde)