Berlin Nuit, image still
January 13, 2019 8:31 pmStill du film Berlin Nuit, Studio Walter, 2018-2019 — Kunsthalle de Hambourg, 2018
Current soundtrack : Lawrence | Dial records mix 1 (Albums etc 2002-2014)
Still du film Berlin Nuit, Studio Walter, 2018-2019 — Kunsthalle de Hambourg, 2018
Current soundtrack : Lawrence | Dial records mix 1 (Albums etc 2002-2014)
Bonne nouvelle année à tous !
“Qui ne sait celer ne sait aimer” (citation d’introduction d’Économie Libidinale, Jean-François Lyotard, 1974) : toujours sous le choc Lyotard, une intervention de Claire Pagès sur le silence (démarrage de l’extrait à 39:34, fin à 39:54). Communication enregistrée dans le cadre du colloque international “Lyotard et le langage” les 9 – 10 – 11 avril 2015 sur le site de l’Université Paris I Panthéon Sorbonne et de la Bibliothèque Sainte-Barbe. Comité d’organisation : Corinne Enaudeau, Frédéric Fruteau de Laclos, Gérard Raulet.
Au cours des années 60, sont apparues dans certaines grandes villes du monde, des cabines publiques d’enregistrement phonographique. Sur le modèle du Photomaton®, elles permettaient au passant, pour quelques «pièces», de réaliser son propre enregistrement d’environ 1 minute et 30 secondes et de repartir avec un souvenir sonore. Un exemplaire unique, sous la forme d’un disque 45 tours, devenait le témoin fragile d’un instant d’intimité où tout devenait possible. Hors-circuit commercial, ces disques étaient condamnés à rester dans l’anonymat : propos spontanés, chansons approximatives, déclarations d’amour, lettres de rupture, bavardages, rigolades entre amis, engueulades, journaux intimes, imitations, confessions, de déchirantes marques d’affection, de l’ennui parfois… Avec le temps, ils se sont abîmés, ont été perdus. Quelques exemplaires réapparaissent ça et là au détour d’un vide grenier ou d’une maison bazardée. Une qualité sonore incertaine, des documents parfois dérisoires mais autant de pistes transfigurant un imaginaire collectif, révélant des plages sonores inédites : Elia David, Patrice Caillet et Adam David ont collecté plusieurs de ces enregistrements (disques anonymes trouvés) et édité une compilation de 15 titres sur disque 33t vinyle mono-face | Plus d’informations
Fountain, Rathaus Neukölln, Studio Walter 2018
Sur l’amour, le don, le lien, la création ; l’affirmation, la voix, le regard ; la vérité du visage ; la totale sincérité, la vérité et l’exigence de les approcher ; l’âme, le charme et l’art mais aussi l’apprentissage de la langue allemande, le travail et ses différentes tables dans lesquelles je ne peux que me projeter : Joel Bartolomeo vient de mettre en ligne un grand film, « Journal d’un indécis », œuvre de trois ans de réflexion, de travail et de choix que je trouve très fort et que je salue, qui porte sur l’hésitation amoureuse mais qui est aussi un immense portrait de Lili, personnage central de sa vie de famille et de ses premières vidéos, peut-être de son œuvre, de la même façon qu’il présente un long texte, puissant, de son amie Françoise sur des abus sexuels d’enfance. Un long format prenant, qui confirme tout en emmenant un peu plus loin l’écriture singulière de l’artiste : une production vraiment réussie qui, je lui souhaite, trouvera sa circulation à Paris comme à Berlin, ici | Site de Joel Bartolomeo | Filmographie | Vimeo | Lili Bartolomeo dans Artmag
Yusra Mardini photographiée par Wikipedia
Légende de la carte d’En bas:
A. – Lieu désert ; cimetière de Covadonga.
B – Haute muraille entourant le jardin.
X. – Grille du jardin.
1. – Villa Covandonga.
2. – Radiographie.
3. – Villa Pilar.
4. – Pommiers et vue sur Casa Blanca et sur la vallée.
5. – « Afrique ».
6. – Villa Amachu.
6b. – Arbre.
7. – « En Bas ».
8. – Jardin potager.
9. – Tonnelle et caverne.
10. – « Quartier » de Don Mariano.
11. – Rue « du Monde extérieur ».
a. – Ma chambre « En Bas », l’éclipse et les limbes.
b. – Le repaire.
c. – La bibliothèque.Grande allée d’ « En Bas ».
Via Dormira Jamais, “Lettre à Henri Parisot, par Leonora Carrington“
“Je suis ma maison” Leonora Carrington, via Yvette Sánchez